Actualité Aucun des 3.000 Marocains d'Ukraine n'a été blessé. Pour l'heure, aucun Marocain n'a été victime des heurts en Ukraine. C'est Mohamed Maachi, président de l'association marocaine d'amitié et de coopération de Khrakiv (est du pays), qui l'assure dans une déclaration à l'agence officielle MAP. La commuté marocaine, évaluée à 3.000 personnes essentiellement constituée d'étudiants, n'a pas souffert des heurts qui ont opposé samedi à Khrakiv des manifestants pro-européens et pro-russes. Idem à Zaporijia (Sud de l'Ukraine) qui compte près de 2000 étudiants. Mohamed Maachi a contacté des Marocains qui y sont établis. Ils lui ont confirmé qu'il n'y a pas de blessé marocain. La vigilence reste cependant de mise. Maachi conseille aux ressortissants marocains en Ukraine de "faire preuve de retenue, d'éviter les lieux publics et de limiter leur déplacement". h24info Javier Bardem remis en place par le Président du think tank espagnol Real Instituto Elcano. Ces derniers jours, l’acteur espagnol Javier Bardem, instrumentalisé par Alger et le polisario dans le but de déjecter sa haine viscérale du Royaume du Maroc, a tout tenté pour porter atteinte à l’excellence des relations franco-marocaines. Pour ce faire, il a usé de mensonges attribuant des propos insultants contre le Maroc d’abord à l’Ambassadeur de France à Washington puis au Représentant Permanent de Paris à l’ONU à New York lors d’une déclaration faite en marge de la promotion de son documentaire pro-polisarien financé totalement par ses amis algériens. Ce bide n’a d’ailleurs pas attiré grand monde à Paris et le Ministère français des Affaires Etrangères ainsi que le diplomate français mis en cause ont apporté un démenti cinglant à ses propos diffamatoires. Face à cet échec retentissant et poursuivant son action malfaisante anti-marocaine télécommanditée par certaines autorités à Alger contre le Maroc, voilà que cet acteur à la solde s’est vu asséner une magistrale correction par son compatriote et Président du prestigieux «Real Instituto Elcano», Monsieur Emilio Lamo de Espinosa. C’est ainsi, qu’en réponse aux propos humiliants et déplacés sur le Maroc de cet acteur, Monsieur Lamo de Espinosa a affirmé aux micros de l’Agence Europa press, le 24 février 2014, qu’il plaidait pour une autonomie au Sahara sous souveraineté marocaine avec de larges prérogatives de gouvernance locale. Il a également, rappelé que cette position constitue la priorité des priorités de la Politique Etrangère espagnole et que l’Etat espagnol ne peut cautionner une quelconque tentative d’atteinte à l’intégrité territoriale ou à la souveraineté nationale marocaine. Une caution qui serait en totale contadiction avec son refus d’accorder à certaines régions l’indépendance ou d’organiser un référendum sur leur indépendance. Afriquinfos Visite royale en Guinée, un nouvel élan dans la coopération Sud-sud. Le périple royal en Afrique se poursuit. Après le Mali, le Gabon et la cote d’Ivoire, SM le Roi Mohammed VI entame ce lundi 3 Mars une visite officielle en Guinée Conakry. Une visite qui marque une fois de plus la volonté du Maroc d'accompagner les pays de l’Afrique dans la réalisation de leur développement économique et social et de booster les échanges économiques et commerciaux avec ses partenaires africains. « La Guinée attend avec un grand intérêt la visite de Sa Majesté le Roi qui va contribuer à donner un nouvel élan à la coopération bilatérale surtout dans le domaine économique ", a affirmé à la MAP, Lounceny Fall, ministre des Affaires étrangères de la République de Guinée.
Et selon lui, les domaines auxquels les responsables guinéens souhaitent élargir la coopération avec le Maroc sont nombreux : banques, eau, électricité, agriculture, formations religieuses, mines... Ceci sans parler de « la prochaine réunion de la commission mixte, qui se tiendra en 2014 au Maroc, et qui va examiner d'autres volets de la coopération en particulier le tourisme et la formation professionnelle » souligne le ministre des Affaires étrangères de la République de Guinée. M.Fall n’a pas manqué aussi de saluer la contribution du Maroc à la formation de milliers de cadres et d'étudiants guinéens. Dans ce sens, il a affirmé que le Royaume constitue "un grand pays de destination" pour les Guinéens désirant poursuivre leurs études supérieures, de par la qualité "exceptionnelle" de la formation dispensée dans les universités et les instituts marocains.

Et d’attester : « Les Guinéens qui reviennent du Maroc occupent de grandes responsabilités dans les secteurs public et privé dans leur pays ». Aujourd'hui Liberté de la presse: Tout va bien selon El Khalfi. La liberté de la presse au Maroc connaît une "progression constante" et son champ s'est élargi, a déclaré, lundi, le ministre de la Communication, Mustapha EL Khalfi, lors de la présentation du rapport annuel relatif à la liberté de la presse en 2013. Le ministre a indiqué que son département est arrivé à cette conclusion sur la base d'une centaine d'indices utilisés par les ONG internationales pour établir leurs rapports. "Le droit à la liberté de la presse est garanti par les lois, notamment la constitution", a-t-il affirmé, réitérant que le prochain code de la presse est dans sa phase finale. "Ce code ne prévoit pas de peine privative de liberté", a-t-il affirmé. El Khalfi a indiqué que "le projet de loi sur le droit de l'accès à l'information est entre les mains du gouvernement. Ce texte est prêt à être adopté prochainement". Selon El Khalfi, l'année 2013 s'est distinguée aussi par le fait "qu'aucun journaliste n'a été emprisonné et qu'aucun organe de presse n'a été fermé" par l'administration. "La justice est désormais la seule compétente à examiner les affaires de presse et non pas le ministère de la Communication. Sur 98 affaires de presse traitées par la justice en 2013, près de 15 d'entre elles ont bénéficié d'un non lieu. Un seul site (Lakome) a été fermé mais à la demande de son directeur auprès de la justice", a précisé le ministre. Répondant à une question de Le360 sur le fait qu'on est en présence d'un rapport positif du ministère et d'un autre, plus sombre, établi par Reporters sans frontières, El Khalfi a souligné que le rapport de cette ONG française "ne repose pas sur des chiffres et des réalités. Il s'est basé uniquement sur la seule affaire d'un site électronique (Lakome), a-t-il estimé. "On ne peut pas baser le progrès et le recul en matière de presse sur la base d'une seule affaire qui est entre les mains de la justice", selon le ministre. Le 360 | International Présidentielle: Bouteflika dépose son dossier de candidature au Conseil constitutionnel. Après l’annonce par procuration d’un quatrième mandat, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a déposé son dossier de candidature au Conseil constitutionnel. "Je suis venu déposer officiellement ma candidature conformément à l'article 74 de la Constitution et à la loi électorale", a déclaré M. Bouteflika, 77 ans, assis dans un fauteuil face au président du Conseil constitutionnel Mourad Medelci, devant les caméras de la télévision publique. Sa référence à l'article 74 porte sur son droit à la réélection. Les candidats ont jusqu'au 4 mars à minuit pour déposer leur candidature, puis le Conseil Constitutionnel aura dix jours pour annoncer la liste des candidats retenus, et la campagne officielle s'ouvrira le 23 mars. Dimanche, c'était son ministre de la Justice, Tayeb Louh, qui a lu le message du président pressant "tous les citoyens à participer massivement" à la présidentielle afin de faire du scrutin présidentiel du 17 avril prochain “une véritable fête pour l'Algérie.” Le président a fêté dimanche ses 77 ans, dont 15 au pouvoir, très affaibli par un AVC qui l'a immobilisé 80 jours en France, d'où il est rentré le 16 juillet dernier. Abdelaziz Bouteflika n'a plus prononcé de discours public depuis mai 2012. Il a reçu quelques hôtes étrangers et tenu deux Conseils des ministres en septembre, puis en décembre. Jeudi, un ancien chef de gouvernement, Mouloud Hamrouche, avait appelé à faire tomber le régime du président Bouteflika "dans le calme", avec l'aide de l'armée, estimant qu'il n'était plus en mesure de diriger le pays. Figure majeure de l'opposition, Saïd Sadi, l'ex-président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), avait, pour sa part, appelé mardi à la mobilisation pour "discréditer ce scrutin, de sorte à laisser l'actuel président candidat à sa propre succession se concurrencer lui-même". La Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH) avait de côté "fermement" condamné la dispersion musclée, samedi dernier au centre d'Alger, d'une manifestation contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un quatrième mandat au scrutin du 17 avril prochain. Atlas info Ukraine : Les déclarations de Barack Obama. Le président américain a brandi lundi la menace de mesures économiques et diplomatiques visant à "isoler" la Russie après son intervention en Crimée, affirmant que Moscou était "du mauvais côté de l'Histoire" dans la crise ukrainienne. Il existe un consensus pour dire que la Russie a violé le droit international en Ukraine, a assuré Obama aux journalistes, au début d'une rencontre avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans le Bureau ovale de la Maison Blanche. "Je pense que le monde est largement uni pour reconnaître que les mesures prises par la Russie représentent une violation de la souveraineté ukrainienne (...) et une violation du droit international", a insisté le président. "Le message que nous faisons passer aux Russes est que s'ils continuent sur leur trajectoire actuelle, nous examinerons un ensemble de mesures économiques et diplomatiques qui isoleront la Russie", a-t-il prévenu. "Elles auront un impact négatif sur l'économie (de la Russie) et son statut à travers le monde", a-t-il poursuivi. "Ce que je souhaite est que le peuple ukrainien puisse décider lui-même de son destin", a souligné Barack Obama. "La Russie a des liens historiques forts avec l'Ukraine. Il y a des liens commerciaux forts entre ces deux pays. Tout cela doit être reconnu, mais ce qui n'est pas acceptable est que la Russie déploie ses soldats sur le terrain en toute impunité et viole des principes fondamentaux reconnus à travers le monde", a-t-il ajouté. Quelques heures plus tôt, le département d'Etat avait précisé que Etats-Unis réfléchissaient à "un large éventail de sanctions" à imposer à la Russie pour ses agissements en Ukraine. "C'est un dossier sur lequel nous sommes vraiment prêts à avancer", a affirmé la porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki, évoquant la possibilité de mesures punitives contre des personnes morales et physiques russes. Le Point Obama presse Israël de négocier maintenant la paix. «Si on ne le fait pas maintenant, quand? et si ce n'est pas vous, qui?» Tels sont les mots que le Barack Obama a confié utiliser dans ses conversations avec le premier ministre israélien, qu'il recevait lundi matin à la Maison-Blanche. Les propos présidentiels recueillis par l'agence Bloomberg, de même que le ton général de la presse américaine, ont clairement laissé entendre que le président des États-Unis avait l'intention de presser Nétanyahou d'accepter l'accord-cadre sur les négociations israélo-palestiniennes que son secrétaire d'État est en train de peaufiner. Boostés par l'implication de l'infatigable John Kerry sur le dossier, les pourparlers de paix ont repris en juillet 2013 après trois ans d'interruption. Ils sont censés déboucher d'ici au 29 avril sur un «accord-cadre» traçant les lignes d'un règlement définitif sur les questions dites de «statut final»: les frontières, les colonies, la sécurité, le statut de Jérusalem et les réfugiés palestiniens. Obama doit recevoir le Palestinien Mahmoud Abbas à la Maison-Blanche le 17 mars. Ce dernier a récemment pris acte de l'échec «jusqu'à présent» de la diplomatie américaine, qualifiant d'«inacceptables» certaines idées avancées par Washington, et notamment la reconnaissance d'un «État nation juif», dont Bibi a fait un préalable. Resté très en retrait depuis la relance d'une initiative de paix par Kerry, Obama est à nouveau à la manœuvre pour pousser Nétanyahou à saisir une opportunité de paix, qui pourrait être la dernière. Dans la longue interview qu'il a accordée à Bloomberg, il souligne «la chance» rare que représente toujours l'interlocuteur Abbas, un modéré. Il parle aussi de la montée des périls pour Israël, vu les changements démographiques en cours. «Peut-on se résigner à une occupation permanente de la Cisjordanie», s'interroge-t-il, et «perpétuer longtemps les politiques qui restreignent les mouvements des populations palestiniennes»? Clairement, Obama ne pense pas que le containment au jour le jour, pratiqué par les Israéliens, soit une solution viable de long terme, et il sous-entend qu'il redoute le risque d'une troisième intifada en cas d'inaction.Le Figaro Manifestation géante de juifs ultra-orthodoxes à Jérusalem. Des centaines de milliers de juifs ultra-orthodoxes manifestaient dimanche après-midi à l'entrée de Jérusalem contre un projet de réforme du service militaire n'exemptant plus les étudiants des écoles religieuses. Quelque 3.500 policiers ont été mobilisés pour l'occasion, a précisé le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld. Les manifestants entendent protester contre une diminution des financements publics accordés aux yeshivot (séminaires talmudiques) et un projet de loi qui doit mettre fin aux pratiques qui permettent aux jeunes étudiants de ces séminaires d'échapper au service militaire. Le gouvernement de Benjamin Netanyahu a décidé l'an dernier de mettre fin à l'autorisation selon laquelle des dizaines de milliers de religieux ultra-orthodoxes sont exemptés du service militaire s'ils étudient à plein temps dans une yeshiva. Dans la nouvelle coalition gouvernementale, issue des élections législatives du début 2013, des centristes laïcs et des nationalistes religieux ont en effet pris la place des partis ultra-orthodoxes qui assuraient jusqu'à présent la poursuite des exemptions. Une nouvelle législation est en cours d'élaboration mais une commission parlementaire a déjà approuvé un projet de loi fixant un quota pour les hommes ultra-orthodoxes devant rejoindre l'armée ou un service civil d'intérêt général à compter de 2017. Ce projet de loi prévoit des sanctions contre les juifs religieux qui tenteraient de se soustraire au service, y compris l'emprisonnement, une disposition qui a provoqué la colère des principaux rabbins ultra-orthodoxes qui estiment que cela porte atteinte à la liberté de culte. La réforme visant à généraliser le service aux étudiants des yeshivot est perçue par la majorité des Israéliens comme une correction de l'injustice historique de leur exemption, accordée lors de la création d'Israël en 1948. Mais à l'époque ils ne représentaient qu'une petite fraction de la société israélienne. En raison de leur taux de natalité élevé, ils représentent aujourd'hui environ 10% de la population d'un peu plus de huit millions dans le pays. Le service militaire est obligatoire en Israël, de trois ans pour les hommes et deux ans pour les femmes. 7sur7 Tuerie de Kunming: trois suspects arrêtés. La police chinoise a arrêté trois suspects après la tuerie samedi soir en gare de Kunming, dans le sud-ouest de la Chine, tuant au moins 29 personnes, a annoncé aujourd'hui l'agence officielle Chine Nouvelle. "Trois suspects impliqués dans l'attaque terroriste dans la ville de Kunming, dans le sud-ouest, ont été capturés", a indiqué l'agence officielle citant le ministère de la Sécurité publique. Au total le "commando terroriste", auteur de la tuerie au couteau samedi soir, comptait huit membres, a-t-on ajouté de même source. Quatre d'entre eux ont été abattus par la police et une femme blessée a été arrêtée sur les lieux de l'attaque, selon l'agence qui a précisé que le meneur avait été identifié comme Abdurehim Kurban. La Chine a attribué à des séparatistes de la région du Xinjiang (nord-ouest) --qui abrite la minorité musulmane turcophone des Ouïghours--, ce qu'elle qualifie d'acte de terreur et que les médias ont baptisé le "11 septembre chinois". Le Figaro |
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